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*La Oreja de Van Gogh*
21 juillet 2007

DILE AL SOL (1998)

Certaines paroles ont etaient prise sur bestofparoles El 28 Llega tarde el 28 y nerviosa miro el reloj, la lluvia conmigo empieza un día de pleno sol, a lo lejos aparece El recuerdo de un amor, no me ve, camina ausente, hace mucho que pasó. Empecé a recordar. Estribillo : Y paseé por mi mente y encontré, aquel rincón que te dejé, donde guardo los momentos que no olvidé. Revivo aquella noche en que olvidamos lo demás, el cielo se volvió rojo al sol vimos bostezar, se ha perdido entre la gente, me he perdido yo también, ya se ha ido el 28 la memoria de un ayer. Empecé a recordar. Estribillo : Y paseé por mi mente y encontré, aquel rincón que te dejé, donde guardo los momentos que no olvidé. Si quiero saber, si tú también, recuerdas algo de aquel café, espero a veces sin entender por qué. Estribillo : Y paseé por mi mente y encontré, aquel rincón que te dejé, donde guardo los momentos que no olvidé. Le 28 Il se fait tard le 28 et nerveuse je regarde ma montre. La pluie laisse place avec moi à un jour de plein soleil. Au loin apparaît le souvenir d'un amour, il ne me voit pas, il marche absent, ça fait longtemps qu'il est parti. J'ai commencé à me rappeller. Refrain : Et je me suis promenée dans mon esprit et j'ai trouvé ce recoin qui t'es consacré où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés. Je revis cette nuit en laquelle nous oublions le reste. Le ciel est devenu rouge par la lumière du soleil que nous avons vu se lever, il s'est perdu dans la foule et je me suis perdue moi aussi, le 28 est déjà passé avec le souvenir d'hier. J'ai commencé à me rappeler. Refrain : Et je me suis promenée dans mon esprit et j'ai trouvé ce recoin qui t'es consacré où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés. oui, je veux savoir si toi aussi tu te souviens un peu de ce café dans lequel j'attends parfois sans comprendre pourquoi. Refrain : Et je me suis promenée dans mon esprit et j'ai trouvé ce recoin qui t'es consacré où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés. Cuéntame al oído Cuéntame al oído, muy despacio y muy bajito, por qué tiene tanta luz este día tan sombrío. Cuéntame al oído, si es sincero eso que ha dicho, o son frases disfrazadas esperando sólo un guiño. Cuéntame, cuéntame. Estribillo : El cielo acostado, detuvo el tiempo en el beso, y ese beso a mí en el tiempo. Cuéntame al oído, a que sabe ese momento, dónde quedan hoy los días En que aquello era un sueño. Cuéntame al oído, donde duermen hoy tus miedos, si aún guardas sus caricias en la caja del recuerdo. Cuentame, cuentame. Estribillo : El cielo acostado, detuvo el tiempo en el beso, y ese beso a mí en el tiempo. Cuéntame al oído Dis-moi à l'oreille Dis-moi à l'oreille, très lentement et tout bas, pourquoi il y a tant de lumière dans ce jour si sombre. Dis-moi à l'oreille si c'est sincère ce qu'il a dit ou si ce sont juste des phrases maquillées qui attendent seulement un clin d'œil. Dis-moi, dis-moi. Refrain : Le ciel couché a arrété ce baiser dans le temps et ce baiser m'a arrété à moi dans le temps. Dis-moi à l'oreille ce qu'il sait de ce moment, ou demeurent les jours dans lesquels tout ça n'était qu'un rêve. Dis-moi à l'oreille ou dorment tes peurs maintenant, si il garde encore ses caresses dans le tiroir du souvenir. Dis-moi, dis-moi Refrain : Le ciel couché a arrété ce baiser dans le temps et ce baiser m'a arrété à moi dans le temps. Dis-moi à l'oreille Pesadilla Corre, déjalo atrás no busques la razón, el miedo no acepta excusas, no tiene compasión. No dejes que te atrape a ti, huye de esta ilusión. Cuando una pesadilla te atrapa, la maldad te cubre con su manto negro y te arrastra sin parar. No dejes que te atrape a ti, huye de esta ilusión. Estribillo : Despiértate, olvídalo, aquello nunca sucedió, todo fue una ilusión. Es tan frío ese sudor que te llega a recorrer todo el cuerpo mientras duermes, mientras piensas en volver. Escúchalo, lo oirás llegar, te intentará engañar. Sientes que tu alma vuelve a visitar esa cama que dejaste anoche sin avisar. Escúchalo, lo oirás llegar, te intentará engañar. Estribillo : Despiértate, olvídalo, aquello nunca sucedió, todo fue una ilusión. No, no es verdad, todo es un sueño, pero es real, dimelo tú, reina del mal, cuando voy yo a despertar. Estribillo : Despiértate, olvídalo, aquello nunca sucedió, todo fue una ilusión. Cauchemard Cours, laisse-le derrière, ne cherche pas de raison, la peur n'accepte aucune excuse et n'a pas de pitié. Ne le laisse pas t'attraper, echappe-toi de cette illusion. Quand un cauchemard t'attrape, la méchanceté te couvre de son manteau noir et t'entraine sans s'arreter. Ne le laisse pas t'attraper, échappe-toi de cette illusion. Refrain : Réveille-toi, oublies-le Cela ne s'est jamais passé Ce n'était qu'une illusion C'est une sueur si froide Qui te parcours Tout le corps pendant que tu dors Pendant que tu penses à changer. Ecoute-le, tu l'entendras arriver Il essaiera de te faire du mal Sens que ton âme va visiter Ce lit dans lequel tu te laisses Couché sans prendre garde. Ecoute-le, tu l'entendras arriver, Il essaiera de te faire du mal. Refrain : Réveille-toi, oublies-le Cela ne s'est jamais passé Ce n'était qu'une illusion Non, ce n'est pas vrai, Tout cela est un rêve, Mais c'est réel. Dis-le moi, toi, Reine du mal Quand je vais me réveiller. Refrain : Réveille-toi, oublies-le Cela ne s'est jamais passé Ce n'était qu'une illusion La estrella y la luna Cuenta un sabio de hoy que una estrella fugaz, en el cielo azul tapaba al astro lunar. Era tal el candor que despedía al volar, que la luna no no dejaba de llorar… ... no dejaba de llorar .. Estribillo : De envidia la luna lloraba al mirar como a la estrella la querían más. Eran sus ojos capaces de amar por eso la luna la quería apagar. Un hechizo lunar provocó una ola en el mar, con una cruel intención: borrar la huella estelar. Pero el mar dejó que la ola chocara con el viento y así no dañar su corazón ... ... no dañar su corazón ... Estribillo : De envidia la luna lloraba al mirar como a la estrella la querían más. Eran sus ojos capaces de amar por eso la luna la quería apagar. L'étoile et la lune Un sage d'aujoud'hui raconte Qu'une étoile filante Dans le ciel bleu Cachait l'astre lunaire Elle était si naïve Qu'elle ne voyait pas en volant Que la lune ne, Ne s'arrêtait pas de pleurer… …ne s'arretait pas de pleurer.. Refrain : La lune pleurait d'envie en constatant Que l'étoile était plus aimée qu'elle C'était ces yeux capables d'aimer Alors la lune voulait l'éteindre La lune par un sort Provoca une vague dans la mer Avec l'intention cruelle D'éteindre l'étoile Mais la mer laissa La vague la heurter avec Avec le vent et ainsi Ne pas faire de mal à son cœur… …Ne pas faire de mal à son cœur… Refrain : La lune pleurait d'envie en constatant Que l'étoile était plus aimée qu'elle C'était ces yeux capables d'aimer Alors la lune voulait l'éteindre Viejo cuento Comenzó meciéndonos el mar el mundo dormía, ahora en un banco encontré el cuento con el que ríes, amas y lloras. Todos estos fríos años al abrigo de un saludo creíamos en algo raro que aún hoy descansa mudo. Que aún hoy descansa, descansa mudo. Estribillo : La silueta que el sol dibujó trajo un vacío de sombras, la silueta que el sol dibujó nos descubrió tantas cosas. Algunas noches a las 11 sale del puerto en tren, un sueño que lleva gorra y que la agita para no volver. Pero esta vieja historia tiene una hoja en blanco, esa que habla de ti. la que te hace llorar tanto. La que te hace llorar tanto. Estribillo : La silueta que el sol dibujó trajo un vacío de sombras, y al regreso de las flores, yo, mi calma dejó de estar sola. Vieux conte La mer a commencé à nous bercé Le monde dormait déjà Sur un banc j'ai découvert le conte Avec lequel tu ries, aimes et pleures. Toutes ces années froides A l'abri d'un salut Nous croyions en quelque chose de bizarre Qu'aujourd'hui se lèverait encore en silence Qu'aujourd'hui se lèverait, Se lèverait en silence Refrain : La silhouette que le soleil a dessiné A amené un vide d'ombre La silhouette que le soleil a dessiné Nous a fait découvrir tant de choses. Quelques nuits à 11 heures Sort en train dans le port Un rêve qui porte un bonnet Et qu'il agite pour ne pas repartir Mais cette vieille histoire A une page blanche C'est celle qui parle de toi Celle qui te fait tant pleurer Celle qui te fait tant pleurer Refrain : La silhouette que le soleil a dessiné A amené un vide d'ombre Et au retour des fleurs, moi, Mon calme m'a laissé seule. Dos cristales Existen dos cristales para descubrir el mundo, existen siempre mil males que son buenos para el zurdo. Personas que desean que el cosmos se haga normal personas que imploran que no lo sea ya. Ilusos que hoy arrojan a la fuente sus monedas, realistas que no dudan en mojarse y cogerlas. Por eso yo te digo que hay dos tipos de dialectos, que hay dos tipos de secretos fundidos en uno mismo. Estribillo : No es fácil elegir, dos mil formas de sentir, dos mil formas de vivir. Tendrás que aprender a escuchar al duende que está ahí, en ti. Tenemos dos mitades separadas por un hilo y ese hilo, por su parte, mil cantones divididos. Buscamos insaciables lo sincero de nosotros, la facción incorruptible, lo que es sólido en todos. El átomo que diga que tiremos las monedas a esa fuente cristalina donde el cosmos se genera. Por eso yo te digo que hay dos tipos de dialectos, que hay dos tipos de secretos fundidos en uno mismo. Estribillo : No es fácil elegir, dos mil formas de sentir, dos mil formas de vivir. Tendrás que aprender a escuchar al duende que está ahí, en ti. Deux cristaux Il existe deux cristaux Pour découvrir le monde Il existe toujours mille maux Qui sont bon pour le sourd Des personnes qui veulent Que le cosmos devienne normal Des personnes qui implorent Qu'il ne le soit pas encore Des rêveurs qui aujourd'hui jettent Leurs pièces dans la fontaine Des réalistes qui n'hésitent pas A se mouiller pour les récupérer C'est pour ça que je te dis Qu'il y a deux types de dialectes Qu'il y a deux types de secrets Réunis en un seul Refrain : Il n'est pas facile de choisir Deux milles façons de ressentir Deux milles façons de vivre Tu vas devoir apprendre à écouter A la magie qui est là, En toi. Nous avons deux moitiés Séparées par un fil Et ce fil pour sa part En milles parties diverses Nous cherchons inlassablement Ce qu'il y a de sincère en nous La partie incorruptible Ce qui est solide en tous points L'atome qui fait Que nous jetons nos pièces Dans cette fontaine cristaline Ou le cosmos se génère C'est pour ça que je te dis Qu'il y a deux types de dialectes Qu'il y a deux types de secrets Réunis en un seul Refrain : Il n'est pas facile de choisir Deux milles façons de ressentir Deux milles façons de vivre Tu vas devoir apprendre à écouter A la magie qui est là, En toi Lloran piedras Detengo los barcos de papel el viento se asoma de puntillas te asesino con un beso y se descubre el crimen pido el carnet a las colillas apago los ojos de los gatos. Estribillo : El atardecer sentado en mis rodillas se come una naranja galopan mis días perdido de ayer, mis días de hoy duermen. Madrugada la muerte hambrienta y desayuna a 4 ó 5 y sé que estoy, estoy ahí yo estoy en esa lista el abuelo se duerme en el sillón su nieto le mira, y se ríe. Las nubes lloran piedras, piedras que lapidan mis sueños. Estribillo : El atardecer sentado en mis rodillas se come una naranja galopan mis días perdido de ayer, mis días de hoy duermen. Ils pleurent des pierres Je détiens les bateaux de papier Le vent se couvre de dentelles Je t'assassine d'un baiser Et le crime est découvert J'ai demandé le carnet aux mégots J'ai éteind les yeux des chats Refrain : La soirée assise sur mes genoux mange une orange Mes jours perdus d'hier galopent Mes jours d'aujourd'hui dorment. Matin, la mort affamée Et déjeune vers 4 ou 5 heures Et je sais que je suis, je suis ici Je suis sur la liste Le grand-père dort dans son fauteuil Son petit-fils le regarde et s'en moque Les nuages pleurent des pierres, Des pierres qui lapident mes rêves. Refrain : La soirée assise sur mes genoux mange une orange Mes jours perdus d'hier galopent Mes jours d'aujourd'hui dorment. Que puedo pedir No me hables de amor, deja que expulse hoy mi rencor, tú fuiste una vez, alguien que quise y también odié. Mírame a mí, mis ojos se van cerrando, se van cerrando. Estribillo : Dime que puedo pedir, no tienes, no tienes nada que me haga seguir, te falta un shu shu o un qué se yo, te falta, te falta gracia cuando hablas de amor. No se que decir Tardo o temprano nos iba occurir Piensa en lo que fue, hay un ahora y hay un después. Mírame a mi, la noche está aclarando, está aclarando. Estribillo : Dime que puedo pedir, no tienes, no tienes nada que me haga seguir, te falta un shu shu o un qué se yo, te falta, te falta gracia cuando hablas de amor. Ce que je peux demander Ne me parles pas d'amour, Laisse moi expulser ma rencoeur Tu as été à la fois Quelqu'un que j'aimais et détestait aussi Regardes-moi, Mes yeux se ferment, Se ferment Refrain : Dis-moi ce que je peux demander Tu n'as, tu n'as rien qui me fasse envie Il te manque un « tchou-tchou » ou un je ne sais quoi Il te manque,il te manque de la classe quand tu parles d'amour Je ne sais pas quoi dire Tôt ou tard ça allait nous arriver Pense à ce que c'était Il y a un maintenant et il y a un après Comprends-moi La nuit s'éclaire, S'éclaire Refrain : Dis-moi ce que je peux demander Tu n'as, tu n'as rien qui me fasse envie Il te manque un « shu shu » ou un je ne sais quoi Il te manque,il te manque de la classe quand tu parles d'amour Dile al sol Hubo una guerra en la antigüedad, que separó un joven y dulce amor, él tuvo que ir al frente a luchar. Fue una lanza la que atravesó, mil sentimientos y un corazón, él murió de pie, nunca regresó. Estribillo : Vuelve a mí, y dame tu mano al andar, vuelve a mí, y mira mis ojos llorar. Dile al sol, que haga volar, tu calor, hacia nuestro hogar, para que vuelvas a mí. Ella no olvida aquel frío adiós, se heló su sangre y tembló su voz, mientras se alejaba su joven amor. Cuentan que todas las mañanas va, a conversar con un viejo árbol gris, a él le habla de su gran soledad. Estribillo : Vuelve a mí, y dame tu mano al andar, vuelve a mí, y mira mis ojos llorar. Dile al sol, que haga volar, tu calor, hacia nuestro hogar, para que vuelvas a mí. Dónde estás amor, donde duermes hoy, dame el beso aquel, que me dijo adiós, adios Estribillo : Vuelve a mí, y dame tu mano al andar, vuelve a mí, y mira mis ojos llorar. Dile al sol, que haga volar, tu calor, hacia nuestro hogar, para que vuelvas a mí. Dis-le au soleil Il y eut une guerre dans l'antiquité Qui sépara un jeune homme et sa douce amante Il dut aller au front, à la lutte Ce fut une lancequi traversa Mille sentiments et un cœur Il mourut sur le coup, ne reveint jamais Refrain : Reviens à moi, Et donne moi ta main en marchant Reviens à moi, Et regarde mes yeux pleurer Dis-le au soleil Qu'il a fait s'envoler Ta chaleur Qui fesait notre foyer Pour que tu reviennes à moi Elle n'oublie pas cet adieu si froid Son sang se glaça et sa voix trembla Pendant que s'éloignait son jeune amour On raconte qu'elle va tous les matins Discuter avec un vieil arbre gris Elle lui parle de sa grande solitude Refrain : Reviens à moi, Et donne moi ta main en marchant Reviens à moi, Et regarde mes yeux pleurer Dis-le au soleil Qu'il a fait s'envoler Ta chaleur Qui fesait notre foyer Pour que tu reviennes à moi Ou es-tu mon amour, Ou dors-tu aujourd'hui Donne-moi ce baiser Qui m'a dit adieu Adieu Refrain : Reviens à moi, Et donne moi ta main en marchant Reviens à moi, Et regarde mes yeux pleurer Dis-le au soleil Qu'il a fait s'envoler Ta chaleur Qui fesait notre foyer Pour que tu reviennes à moi El libro Que distinto parece el mundo al girar, si sonríes sentada en cualquier bar, conversando sobre la eternidad. Y entenderla, la vida, es ahora por fin, despertar y sólo pensar en ti, un deseo que me anima a fingir. Estribillo : En el libro que te di, deja secar ese beso junto a ti, no dejes que el tiempo arrugue, las hojas del libro que te di. Cuanto tiempo el cielo nos dejará que me arropes con besos de dulce sabor a la puerta algún día llamará. Hoy presiento que el cielo viene a por mí viene fiero, no quiere vernos reír, es un buitre que tengo que combatir. Estribillo : En el libro que te di, deja secar ese beso junto a ti, no dejes que el tiempo arrugue, las hojas del libro que te di. Tanto tiempo escribiendo una historia de amor, y es ahora cuando entiendo el dolor, que supone tener que decirte adiós. Estribillo : En el libro que te di, deja secar ese beso junto a ti, no dejes que el tiempo arrugue, las hojas del libro que te di. Le livre Comme le monde parait différent dans sa ronde Si tu souries, assise dans n'importe-quel bar Discutant de l'éternité Et comprendre la vie enfin, Me réveiller et seulement penser à toi Un desir qui me donne envie de feindre. Refrain : Dans le livre que je t'ai donné Se laisse sécher se baiser à tes côtés Ne laisse pas le temps abimer les pages Du livre que je t'ai donné Combien de temps le ciel permettra Que tu m'enveloppes de baisers savoureux A la porte un jour il m'appellera Aujourd'hui je sens que le ciel vient à moi Il vient fier, il ne veut pas nous voir rire C'est un vautour que je me dois de combattre Refrain : Dans le livre que je t'ai donné Se laisse sécher se baiser à tes côtés Ne laisse pas le temps abimer les pages Du livre que je t'ai donné Tant de tamps passé à écrire un histoire d'amour Et c'est maintenant que je comprend la douleur D'avoir supposé avoir à te dire adieu Refrain : Dans le livre que je t'ai donné Se laisse sécher se baiser à tes côtés Ne laisse pas le temps abimer les pages Du livre que je t'ai donné La carta Te escribo desde el silencio, donde el miedo tiene excusa, donde el tiempo se pierde, donde el odio no cura, la bandera que de noche me ahoga. estribillo : La oscuridad me inunda, mis fuerzas se pierden, sin nada más que decirte, me despido hasta siempre. Cuando leas esta carta, no cierres esos ojos, que tienen la luz que me falta, que tienen la luz que me falta. Recuerdos llenan mi espera, cubren todos mis sueños, duermen sobre una piedra, soledad que me ahogas, deja ya de mirarme, y dame tu mano. estribillo : La oscuridad me inunda, mis fuerzas se pierden, sin nada más que decirte, me despido hasta siempre. Cuando leas esta carta, no cierres esos ojos, que tienen la luz que me falta, que tienen la luz que me falta. La lettre Je técris depuis le silence, Où la peur a une excuse, Où le temps se perd, Où la haine ne guérit pas Le drap qui m'étouffe la nuit. Refrain : L'obscurité m'innonde, Mes forces se perdent, Sans rien d'autre à te dire, Je me retire, à bientôt. Quand tu lieras cette lettre, Ne ferme pas ces yeux, Qui ont la lumière qui me manque Qui ont la lumière qui me manque Les souvenirs remplissent mon attente, Recouvrent tous mes rêves, Dorment sur une pierre, La solitude dont tu me recouvres, Arrête-toi de me regarder Et donne-moi ta main Refrain : L'obscurité m'innonde, Mes forces se perdent, Sans rien d'autre à te dire, Je me retire, à bientôt. Quand tu lieras cette lettre, Ne ferme pas ces yeux, Qui ont la lumière qui me manque Qui ont la lumière qui me manque Soñaré He soñado siempre con poder volar, desplegar los brazos y no aterrizar, conocier otros lugares, y verdades más allá. Y sentarme en una nube a descansar, beber de esta libertad, y dejarme llevar, la la ra la. He soñado siempre con poder dormir, sobre un lecho de algas y coral, disfrutar de ese silencio, que reina siempre allí. Y viajar encima de un delfín, cruzar mares sin parar, y nunca llegar al fin, la la ra la. Estribillo : Como dijo aquel genio, esta vida es un sueño, un sueño, como dijo aquel genio, esta vida es un sueño y soñaré. He soñado siempre con poder crear, una máquina del tiempo y descubrir, el futuro más lejano, donde yo no voy a estar. Y poder volver San Sebastian, en el siglo XXVI, desde mi nave espacial, la la ra la. He soñado con que tu puedas soñar, que dibujes en tu mente un lugar, donde no haya ni misterios, ni secretos ni maldad. Y encontrar un día al despertar, que ya nada sigue igual que todo vuelva a empezar, la la ra la. Estribillo : Como dijo aquel genio, esta vida es un sueño, un sueño, como dijo aquel genio, esta vida es un sueño y soñaré. Je vais rêver J'ai toujours rêvé de pouvoir voler, Déployer les bras et ne plus attérir, Connaître d'autres lieux, et vérités loin d'ici. et me réveiller sur un nuage, boire cette liberté, et me laisser porter, la la la la. j'ai toujours rêvé de pouvoir dormir, sur un lit d'algues et de corail, profiter du silence, qui reigne toujours là-bas. et voyager à dos de dauphin, voguer sans arrêt sur les mers, et ne jamais arriver à la fin, la la la la. Refrain : Comme a dit ce génie, Cette vie est un rêve, un rêve, Comme a dit ce génie, Cette vie est un rêve, et je vais rêver J'ai toujours rêvé de pouvoir créer Une machine à remonter dans le temps et découvrir Le futur le plus lointain Dans lequel je ne serais plus Et retourner voir San Sebastian Au XXVIème siècle Depuis ma navette spatiale La la la la J'ai rêvais que tu pouvais rêver Que tu dessine dans ton esprit un lieu Dans lequel il n'y aurait ni mystères, Ni secrets, ni méchanceté. Et se rendre conte un jour en se réveillant Que rien ne sera plus pareil Que tout est sur le point de commencer La la la la Refrain : Comme a dit ce génie, Cette vie est un rêve, un rêve, Comme a dit ce génie, Cette vie est un rêve, et je vais rêver
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*La Oreja de Van Gogh*
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