21 juillet 2007
DILE AL SOL (1998)
Certaines paroles ont etaient prise sur bestofparoles
El 28
Llega tarde el 28
y nerviosa miro el reloj,
la lluvia conmigo empieza
un día de pleno sol,
a lo lejos aparece
El recuerdo de un amor,
no me ve, camina ausente,
hace mucho que pasó.
Empecé a recordar.
Estribillo :
Y paseé
por mi mente y encontré,
aquel rincón que te dejé,
donde guardo los momentos que no olvidé.
Revivo aquella noche
en que olvidamos lo demás,
el cielo se volvió rojo
al sol vimos bostezar,
se ha perdido entre la gente,
me he perdido yo también,
ya se ha ido el 28
la memoria de un ayer.
Empecé a recordar.
Estribillo :
Y paseé
por mi mente y encontré,
aquel rincón que te dejé,
donde guardo los momentos que no olvidé.
Si quiero saber, si tú también,
recuerdas algo de aquel café,
espero a veces sin entender
por qué.
Estribillo :
Y paseé
por mi mente y encontré,
aquel rincón que te dejé,
donde guardo los momentos que no olvidé.
Le 28
Il se fait tard le 28
et nerveuse je regarde ma montre.
La pluie laisse place avec moi
à un jour de plein soleil.
Au loin apparaît
le souvenir d'un amour,
il ne me voit pas, il marche absent,
ça fait longtemps qu'il est parti.
J'ai commencé à me rappeller.
Refrain :
Et je me suis promenée
dans mon esprit et j'ai trouvé
ce recoin qui t'es consacré
où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés.
Je revis cette nuit
en laquelle nous oublions le reste.
Le ciel est devenu rouge
par la lumière du soleil que nous avons vu se lever,
il s'est perdu dans la foule
et je me suis perdue moi aussi,
le 28 est déjà passé
avec le souvenir d'hier.
J'ai commencé à me rappeler.
Refrain :
Et je me suis promenée
dans mon esprit et j'ai trouvé
ce recoin qui t'es consacré
où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés.
oui, je veux savoir si toi aussi
tu te souviens un peu de ce café
dans lequel j'attends parfois sans comprendre
pourquoi.
Refrain :
Et je me suis promenée
dans mon esprit et j'ai trouvé
ce recoin qui t'es consacré
où je gardes les moments que je n'ai pas oubliés.
Cuéntame al oído
Cuéntame al oído,
muy despacio y muy bajito,
por qué tiene tanta luz
este día tan sombrío.
Cuéntame al oído,
si es sincero eso que ha dicho,
o son frases disfrazadas
esperando sólo un guiño.
Cuéntame, cuéntame.
Estribillo :
El cielo acostado,
detuvo el tiempo en el beso,
y ese beso a mí en el tiempo.
Cuéntame al oído,
a que sabe ese momento,
dónde quedan hoy los días
En que aquello era un sueño.
Cuéntame al oído,
donde duermen hoy tus miedos,
si aún guardas sus caricias
en la caja del recuerdo.
Cuentame, cuentame.
Estribillo :
El cielo acostado,
detuvo el tiempo en el beso,
y ese beso a mí en el tiempo.
Cuéntame al oído
Dis-moi à l'oreille
Dis-moi à l'oreille,
très lentement et tout bas,
pourquoi il y a tant de lumière
dans ce jour si sombre.
Dis-moi à l'oreille
si c'est sincère ce qu'il a dit
ou si ce sont juste des phrases maquillées
qui attendent seulement un clin d'œil.
Dis-moi, dis-moi.
Refrain :
Le ciel couché
a arrété ce baiser dans le temps
et ce baiser m'a arrété à moi dans le temps.
Dis-moi à l'oreille
ce qu'il sait de ce moment,
ou demeurent les jours
dans lesquels tout ça n'était qu'un rêve.
Dis-moi à l'oreille
ou dorment tes peurs maintenant,
si il garde encore ses caresses
dans le tiroir du souvenir.
Dis-moi, dis-moi
Refrain :
Le ciel couché
a arrété ce baiser dans le temps
et ce baiser m'a arrété à moi dans le temps.
Dis-moi à l'oreille
Pesadilla
Corre, déjalo atrás
no busques la razón,
el miedo no acepta excusas,
no tiene compasión.
No dejes que te atrape a ti,
huye de esta ilusión.
Cuando una pesadilla
te atrapa, la maldad
te cubre con su manto negro
y te arrastra sin parar.
No dejes que te atrape a ti,
huye de esta ilusión.
Estribillo :
Despiértate, olvídalo,
aquello nunca sucedió,
todo fue una ilusión.
Es tan frío ese sudor
que te llega a recorrer
todo el cuerpo mientras duermes,
mientras piensas en volver.
Escúchalo, lo oirás llegar,
te intentará engañar.
Sientes que tu alma
vuelve a visitar
esa cama que dejaste
anoche sin avisar.
Escúchalo, lo oirás llegar,
te intentará engañar.
Estribillo :
Despiértate, olvídalo,
aquello nunca sucedió,
todo fue una ilusión.
No, no es verdad,
todo es un sueño,
pero es real,
dimelo tú,
reina del mal,
cuando voy yo a despertar.
Estribillo :
Despiértate, olvídalo,
aquello nunca sucedió,
todo fue una ilusión.
Cauchemard
Cours, laisse-le derrière,
ne cherche pas de raison,
la peur n'accepte aucune excuse
et n'a pas de pitié.
Ne le laisse pas t'attraper,
echappe-toi de cette illusion.
Quand un cauchemard t'attrape, la méchanceté
te couvre de son manteau noir
et t'entraine sans s'arreter.
Ne le laisse pas t'attraper,
échappe-toi de cette illusion.
Refrain :
Réveille-toi, oublies-le
Cela ne s'est jamais passé
Ce n'était qu'une illusion
C'est une sueur si froide
Qui te parcours
Tout le corps pendant que tu dors
Pendant que tu penses à changer.
Ecoute-le, tu l'entendras arriver
Il essaiera de te faire du mal
Sens que ton âme
va visiter
Ce lit dans lequel tu te laisses
Couché sans prendre garde.
Ecoute-le, tu l'entendras arriver,
Il essaiera de te faire du mal.
Refrain :
Réveille-toi, oublies-le
Cela ne s'est jamais passé
Ce n'était qu'une illusion
Non, ce n'est pas vrai,
Tout cela est un rêve,
Mais c'est réel.
Dis-le moi, toi,
Reine du mal
Quand je vais me réveiller.
Refrain :
Réveille-toi, oublies-le
Cela ne s'est jamais passé
Ce n'était qu'une illusion
La estrella y la luna
Cuenta un sabio de hoy
que una estrella fugaz,
en el cielo azul
tapaba al astro lunar.
Era tal el candor
que despedía al volar,
que la luna no
no dejaba de llorar…
... no dejaba de llorar ..
Estribillo :
De envidia la luna lloraba al mirar
como a la estrella la querían más.
Eran sus ojos capaces de amar
por eso la luna la quería apagar.
Un hechizo lunar
provocó una ola en el mar,
con una cruel intención:
borrar la huella estelar.
Pero el mar dejó
que la ola chocara con
el viento y así
no dañar su corazón ...
... no dañar su corazón ...
Estribillo :
De envidia la luna lloraba al mirar
como a la estrella la querían más.
Eran sus ojos capaces de amar
por eso la luna la quería apagar.
L'étoile et la lune
Un sage d'aujoud'hui raconte
Qu'une étoile filante
Dans le ciel bleu
Cachait l'astre lunaire
Elle était si naïve
Qu'elle ne voyait pas en volant
Que la lune ne,
Ne s'arrêtait pas de pleurer…
…ne s'arretait pas de pleurer..
Refrain :
La lune pleurait d'envie en constatant
Que l'étoile était plus aimée qu'elle
C'était ces yeux capables d'aimer
Alors la lune voulait l'éteindre
La lune par un sort
Provoca une vague dans la mer
Avec l'intention cruelle
D'éteindre l'étoile
Mais la mer laissa
La vague la heurter avec
Avec le vent et ainsi
Ne pas faire de mal à son cœur…
…Ne pas faire de mal à son cœur…
Refrain :
La lune pleurait d'envie en constatant
Que l'étoile était plus aimée qu'elle
C'était ces yeux capables d'aimer
Alors la lune voulait l'éteindre
Viejo cuento
Comenzó meciéndonos el mar
el mundo dormía, ahora
en un banco encontré el cuento
con el que ríes, amas y lloras.
Todos estos fríos años
al abrigo de un saludo
creíamos en algo raro
que aún hoy descansa mudo.
Que aún hoy descansa,
descansa mudo.
Estribillo :
La silueta que el sol dibujó
trajo un vacío de sombras,
la silueta que el sol dibujó
nos descubrió tantas cosas.
Algunas noches a las 11
sale del puerto en tren,
un sueño que lleva gorra
y que la agita para no volver.
Pero esta vieja historia
tiene una hoja en blanco,
esa que habla de ti.
la que te hace llorar tanto.
La que te hace llorar tanto.
Estribillo :
La silueta que el sol dibujó
trajo un vacío de sombras,
y al regreso de las flores, yo,
mi calma dejó de estar sola.
Vieux conte
La mer a commencé à nous bercé
Le monde dormait déjà
Sur un banc j'ai découvert le conte
Avec lequel tu ries, aimes et pleures.
Toutes ces années froides
A l'abri d'un salut
Nous croyions en quelque chose de bizarre
Qu'aujourd'hui se lèverait encore en silence
Qu'aujourd'hui se lèverait,
Se lèverait en silence
Refrain :
La silhouette que le soleil a dessiné
A amené un vide d'ombre
La silhouette que le soleil a dessiné
Nous a fait découvrir tant de choses.
Quelques nuits à 11 heures
Sort en train dans le port
Un rêve qui porte un bonnet
Et qu'il agite pour ne pas repartir
Mais cette vieille histoire
A une page blanche
C'est celle qui parle de toi
Celle qui te fait tant pleurer
Celle qui te fait tant pleurer
Refrain :
La silhouette que le soleil a dessiné
A amené un vide d'ombre
Et au retour des fleurs, moi,
Mon calme m'a laissé seule.
Dos cristales
Existen dos cristales
para descubrir el mundo,
existen siempre mil males
que son buenos para el zurdo.
Personas que desean
que el cosmos se haga normal
personas que imploran
que no lo sea ya.
Ilusos que hoy arrojan
a la fuente sus monedas,
realistas que no dudan
en mojarse y cogerlas.
Por eso yo te digo
que hay dos tipos de dialectos,
que hay dos tipos de secretos
fundidos en uno mismo.
Estribillo :
No es fácil elegir,
dos mil formas de sentir,
dos mil formas de vivir.
Tendrás que aprender a escuchar
al duende que está ahí,
en ti.
Tenemos dos mitades
separadas por un hilo
y ese hilo, por su parte,
mil cantones divididos.
Buscamos insaciables
lo sincero de nosotros,
la facción incorruptible,
lo que es sólido en todos.
El átomo que diga
que tiremos las monedas
a esa fuente cristalina
donde el cosmos se genera.
Por eso yo te digo
que hay dos tipos de dialectos,
que hay dos tipos de secretos
fundidos en uno mismo.
Estribillo :
No es fácil elegir,
dos mil formas de sentir,
dos mil formas de vivir.
Tendrás que aprender a escuchar
al duende que está ahí,
en ti.
Deux cristaux
Il existe deux cristaux
Pour découvrir le monde
Il existe toujours mille maux
Qui sont bon pour le sourd
Des personnes qui veulent
Que le cosmos devienne normal
Des personnes qui implorent
Qu'il ne le soit pas encore
Des rêveurs qui aujourd'hui jettent
Leurs pièces dans la fontaine
Des réalistes qui n'hésitent pas
A se mouiller pour les récupérer
C'est pour ça que je te dis
Qu'il y a deux types de dialectes
Qu'il y a deux types de secrets
Réunis en un seul
Refrain :
Il n'est pas facile de choisir
Deux milles façons de ressentir
Deux milles façons de vivre
Tu vas devoir apprendre à écouter
A la magie qui est là,
En toi.
Nous avons deux moitiés
Séparées par un fil
Et ce fil pour sa part
En milles parties diverses
Nous cherchons inlassablement
Ce qu'il y a de sincère en nous
La partie incorruptible
Ce qui est solide en tous points
L'atome qui fait
Que nous jetons nos pièces
Dans cette fontaine cristaline
Ou le cosmos se génère
C'est pour ça que je te dis
Qu'il y a deux types de dialectes
Qu'il y a deux types de secrets
Réunis en un seul
Refrain :
Il n'est pas facile de choisir
Deux milles façons de ressentir
Deux milles façons de vivre
Tu vas devoir apprendre à écouter
A la magie qui est là,
En toi
Lloran piedras
Detengo los barcos de papel
el viento se asoma de puntillas
te asesino con un beso
y se descubre el crimen
pido el carnet a las colillas
apago los ojos de los gatos.
Estribillo :
El atardecer sentado en mis rodillas
se come una naranja
galopan mis días perdido de ayer,
mis días de hoy duermen.
Madrugada la muerte hambrienta
y desayuna a 4 ó 5
y sé que estoy, estoy ahí
yo estoy en esa lista
el abuelo se duerme en el sillón
su nieto le mira, y se ríe.
Las nubes lloran piedras,
piedras que lapidan mis sueños.
Estribillo :
El atardecer sentado en mis rodillas
se come una naranja
galopan mis días perdido de ayer,
mis días de hoy duermen.
Ils pleurent des pierres
Je détiens les bateaux de papier
Le vent se couvre de dentelles
Je t'assassine d'un baiser
Et le crime est découvert
J'ai demandé le carnet aux mégots
J'ai éteind les yeux des chats
Refrain :
La soirée assise sur mes genoux
mange une orange
Mes jours perdus d'hier galopent
Mes jours d'aujourd'hui dorment.
Matin, la mort affamée
Et déjeune vers 4 ou 5 heures
Et je sais que je suis, je suis ici
Je suis sur la liste
Le grand-père dort dans son fauteuil
Son petit-fils le regarde et s'en moque
Les nuages pleurent des pierres,
Des pierres qui lapident mes rêves.
Refrain :
La soirée assise sur mes genoux
mange une orange
Mes jours perdus d'hier galopent
Mes jours d'aujourd'hui dorment.
Que puedo pedir
No me hables de amor,
deja que expulse hoy mi rencor,
tú fuiste una vez,
alguien que quise y también odié.
Mírame a mí,
mis ojos se van cerrando,
se van cerrando.
Estribillo :
Dime que puedo pedir,
no tienes, no tienes nada que me
haga seguir,
te falta un shu shu o un qué se yo,
te falta, te falta gracia
cuando hablas de amor.
No se que decir
Tardo o temprano nos iba occurir
Piensa en lo que fue,
hay un ahora y hay un después.
Mírame a mi,
la noche está aclarando,
está aclarando.
Estribillo :
Dime que puedo pedir,
no tienes, no tienes nada que me
haga seguir,
te falta un shu shu o un qué se yo,
te falta, te falta gracia
cuando hablas de amor.
Ce que je peux demander
Ne me parles pas d'amour,
Laisse moi expulser ma rencoeur
Tu as été à la fois
Quelqu'un que j'aimais et détestait aussi
Regardes-moi,
Mes yeux se ferment,
Se ferment
Refrain :
Dis-moi ce que je peux demander
Tu n'as, tu n'as rien qui me fasse envie
Il te manque un « tchou-tchou » ou un je ne sais quoi
Il te manque,il te manque de la classe
quand tu parles d'amour
Je ne sais pas quoi dire
Tôt ou tard ça allait nous arriver
Pense à ce que c'était
Il y a un maintenant et il y a un après
Comprends-moi
La nuit s'éclaire,
S'éclaire
Refrain :
Dis-moi ce que je peux demander
Tu n'as, tu n'as rien qui me fasse envie
Il te manque un « shu shu » ou un je ne sais quoi
Il te manque,il te manque de la classe
quand tu parles d'amour
Dile al sol
Hubo una guerra en la antigüedad,
que separó un joven y dulce
amor,
él tuvo que ir al frente a luchar.
Fue una lanza la que atravesó,
mil sentimientos y un corazón,
él murió de pie, nunca regresó.
Estribillo :
Vuelve a mí,
y dame tu mano al andar,
vuelve a mí,
y mira mis ojos llorar.
Dile al sol,
que haga volar,
tu calor,
hacia nuestro hogar,
para que vuelvas a mí.
Ella no olvida aquel frío adiós,
se heló su sangre y tembló su voz,
mientras se alejaba su joven amor.
Cuentan que todas las mañanas va,
a conversar con un viejo árbol gris,
a él le habla de su gran soledad.
Estribillo :
Vuelve a mí,
y dame tu mano al andar,
vuelve a mí,
y mira mis ojos llorar.
Dile al sol,
que haga volar,
tu calor,
hacia nuestro hogar,
para que vuelvas a mí.
Dónde estás amor,
donde duermes hoy,
dame el beso aquel,
que me dijo adiós,
adios
Estribillo :
Vuelve a mí,
y dame tu mano al andar,
vuelve a mí,
y mira mis ojos llorar.
Dile al sol,
que haga volar,
tu calor,
hacia nuestro hogar,
para que vuelvas a mí.
Dis-le au soleil
Il y eut une guerre dans l'antiquité
Qui sépara un jeune homme et sa douce amante
Il dut aller au front, à la lutte
Ce fut une lancequi traversa
Mille sentiments et un cœur
Il mourut sur le coup, ne reveint jamais
Refrain :
Reviens à moi,
Et donne moi ta main en marchant
Reviens à moi,
Et regarde mes yeux pleurer
Dis-le au soleil
Qu'il a fait s'envoler
Ta chaleur
Qui fesait notre foyer
Pour que tu reviennes à moi
Elle n'oublie pas cet adieu si froid
Son sang se glaça et sa voix trembla
Pendant que s'éloignait son jeune amour
On raconte qu'elle va tous les matins
Discuter avec un vieil arbre gris
Elle lui parle de sa grande solitude
Refrain :
Reviens à moi,
Et donne moi ta main en marchant
Reviens à moi,
Et regarde mes yeux pleurer
Dis-le au soleil
Qu'il a fait s'envoler
Ta chaleur
Qui fesait notre foyer
Pour que tu reviennes à moi
Ou es-tu mon amour,
Ou dors-tu aujourd'hui
Donne-moi ce baiser
Qui m'a dit adieu
Adieu
Refrain :
Reviens à moi,
Et donne moi ta main en marchant
Reviens à moi,
Et regarde mes yeux pleurer
Dis-le au soleil
Qu'il a fait s'envoler
Ta chaleur
Qui fesait notre foyer
Pour que tu reviennes à moi
El libro
Que distinto parece
el mundo al girar,
si sonríes
sentada en cualquier bar,
conversando sobre la eternidad.
Y entenderla, la vida, es ahora por fin,
despertar y sólo pensar en ti,
un deseo que me anima a fingir.
Estribillo :
En el libro que te di,
deja secar ese beso junto a ti,
no dejes que el tiempo arrugue,
las hojas del libro que te di.
Cuanto tiempo el cielo nos dejará
que me arropes con besos de dulce sabor
a la puerta algún día llamará.
Hoy presiento que el cielo viene a por mí
viene fiero, no quiere vernos reír,
es un buitre
que tengo que combatir.
Estribillo :
En el libro que te di,
deja secar ese beso junto a ti,
no dejes que el tiempo arrugue,
las hojas del libro que te di.
Tanto tiempo escribiendo una historia
de amor,
y es ahora cuando entiendo
el dolor,
que supone tener que decirte adiós.
Estribillo :
En el libro que te di,
deja secar ese beso junto a ti,
no dejes que el tiempo arrugue,
las hojas del libro que te di.
Le livre
Comme le monde parait
différent dans sa ronde
Si tu souries,
assise dans n'importe-quel bar
Discutant de l'éternité
Et comprendre la vie enfin,
Me réveiller et seulement penser à toi
Un desir qui me donne envie de feindre.
Refrain :
Dans le livre que je t'ai donné
Se laisse sécher se baiser à tes côtés
Ne laisse pas le temps abimer les pages
Du livre que je t'ai donné
Combien de temps le ciel permettra
Que tu m'enveloppes de baisers savoureux
A la porte un jour il m'appellera
Aujourd'hui je sens que le ciel vient à moi
Il vient fier, il ne veut pas nous voir rire
C'est un vautour
que je me dois de combattre
Refrain :
Dans le livre que je t'ai donné
Se laisse sécher se baiser à tes côtés
Ne laisse pas le temps abimer les pages
Du livre que je t'ai donné
Tant de tamps passé à écrire un histoire d'amour
Et c'est maintenant que je comprend
la douleur
D'avoir supposé avoir à te dire adieu
Refrain :
Dans le livre que je t'ai donné
Se laisse sécher se baiser à tes côtés
Ne laisse pas le temps abimer les pages
Du livre que je t'ai donné
La carta
Te escribo desde el silencio,
donde el miedo tiene excusa,
donde el tiempo se pierde,
donde el odio no cura,
la bandera que de noche me ahoga.
estribillo :
La oscuridad me inunda,
mis fuerzas se pierden,
sin nada más que decirte,
me despido hasta siempre.
Cuando leas esta carta,
no cierres esos ojos,
que tienen la luz que me falta,
que tienen la luz que me falta.
Recuerdos llenan mi espera,
cubren todos mis sueños,
duermen sobre una piedra,
soledad que me ahogas,
deja ya de mirarme,
y dame tu mano.
estribillo :
La oscuridad me inunda,
mis fuerzas se pierden,
sin nada más que decirte,
me despido hasta siempre.
Cuando leas esta carta,
no cierres esos ojos,
que tienen la luz que me falta,
que tienen la luz que me falta.
La lettre
Je técris depuis le silence,
Où la peur a une excuse,
Où le temps se perd,
Où la haine ne guérit pas
Le drap qui m'étouffe la nuit.
Refrain :
L'obscurité m'innonde,
Mes forces se perdent,
Sans rien d'autre à te dire,
Je me retire, à bientôt.
Quand tu lieras cette lettre,
Ne ferme pas ces yeux,
Qui ont la lumière qui me manque
Qui ont la lumière qui me manque
Les souvenirs remplissent mon attente,
Recouvrent tous mes rêves,
Dorment sur une pierre,
La solitude dont tu me recouvres,
Arrête-toi de me regarder
Et donne-moi ta main
Refrain :
L'obscurité m'innonde,
Mes forces se perdent,
Sans rien d'autre à te dire,
Je me retire, à bientôt.
Quand tu lieras cette lettre,
Ne ferme pas ces yeux,
Qui ont la lumière qui me manque
Qui ont la lumière qui me manque
Soñaré
He soñado siempre con poder volar,
desplegar los brazos y no aterrizar,
conocier otros lugares,
y verdades más allá.
Y sentarme en una nube a descansar,
beber de esta libertad,
y dejarme llevar,
la la ra la.
He soñado siempre con poder dormir,
sobre un lecho de algas y coral,
disfrutar de ese silencio,
que reina siempre allí.
Y viajar encima de un delfín,
cruzar mares sin parar,
y nunca llegar al fin,
la la ra la.
Estribillo :
Como dijo aquel genio,
esta vida es un sueño, un sueño,
como dijo aquel genio,
esta vida es un sueño y soñaré.
He soñado siempre con poder crear,
una máquina del tiempo y
descubrir,
el futuro más lejano,
donde yo no voy a estar.
Y poder volver San Sebastian,
en el siglo XXVI,
desde mi nave espacial,
la la ra la.
He soñado con que tu puedas soñar,
que dibujes en tu mente un lugar,
donde no haya ni misterios,
ni secretos ni maldad.
Y encontrar un día al despertar,
que ya nada sigue igual
que todo vuelva a empezar,
la la ra la.
Estribillo :
Como dijo aquel genio,
esta vida es un sueño, un sueño,
como dijo aquel genio,
esta vida es un sueño y soñaré.
Je vais rêver
J'ai toujours rêvé de pouvoir voler,
Déployer les bras et ne plus attérir,
Connaître d'autres lieux,
et vérités loin d'ici.
et me réveiller sur un nuage,
boire cette liberté,
et me laisser porter,
la la la la.
j'ai toujours rêvé de pouvoir dormir,
sur un lit d'algues et de corail,
profiter du silence,
qui reigne toujours là-bas.
et voyager à dos de dauphin,
voguer sans arrêt sur les mers,
et ne jamais arriver à la fin,
la la la la.
Refrain :
Comme a dit ce génie,
Cette vie est un rêve, un rêve,
Comme a dit ce génie,
Cette vie est un rêve, et je vais rêver
J'ai toujours rêvé de pouvoir créer
Une machine à remonter dans le temps et découvrir
Le futur le plus lointain
Dans lequel je ne serais plus
Et retourner voir San Sebastian
Au XXVIème siècle
Depuis ma navette spatiale
La la la la
J'ai rêvais que tu pouvais rêver
Que tu dessine dans ton esprit un lieu
Dans lequel il n'y aurait ni mystères,
Ni secrets, ni méchanceté.
Et se rendre conte un jour en se réveillant
Que rien ne sera plus pareil
Que tout est sur le point de commencer
La la la la
Refrain :
Comme a dit ce génie,
Cette vie est un rêve, un rêve,
Comme a dit ce génie,
Cette vie est un rêve, et je vais rêver
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